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Author: Abeille du Hain

Varroa – documents intéressants

Varroa – documents intéressants

Voici deux thèses de doctorat relatives au Varroa :

Varroa destructor (ANDERSON ET TRUEMAN, 2000), UN ACARIEN ECTOPARASITE DE L’ABEILLE
DOMESTIQUE Apis mellifera LINNAEUS, 1758.
REVUE BIBLIOGRAPHIQUE ET CONTRIBUTION À L’ÉTUDE DE SA REPRODUCTION.
THÈSE Pour le DOCTORAT VÉTÉRINAIRE
Présentée et soutenue publiquement en 2012 devant LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE CRÉTEIL
par Sébastien WENDLING

 

ACTION SANITAIRE EN PRODUCTION APICOLE : GESTION DE LA VARROOSE FACE A L’APPARITION DE RESISTANCE AUX TRAITEMENTS CHEZ VARROA DESTRUCTOR
THÈSE Présentée à l’UNIVERSITÉ CLAUDE-BERNARD – LYON I
(Médecine – Pharmacie) et soutenue publiquement le 13 Décembre 2013
pour obtenir le grade de Docteur Vétérinaire par Alice MALLICK

Dénomination ‘Miel wallon’

Dénomination ‘Miel wallon’

Pour information et communication à toute personne intéressée : publication ce jour au MB de l’arrêté ministériel relatif à la demande d’enregistrement de la dénomination « Miel wallon » en qualité d’IGP. Cette publication initie une période de recours de 60 jours au Conseil d’Etat, période qui se terminera donc le 19 juin prochain. A partir de cette date et en l’absence de recours, le dossier pourra être introduit auprès de la Commission européenne.

Moniteur belge – Miel Wallon

Le miel à l’hôpital

Le miel à l’hôpital

Extrait de la newsletter de l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, ASBL , PARIS , site web:  www.ipsn.eu

« Que fait le miel à l’hôpital ?

Chère amie, cher ami,

La première fois que j’ai entendu parler des pouvoirs cicatrisants du miel, c’est par le Pr Henri Joyeux, lors d’une Rencontre de l’IPSN, il y a quelques années. Il racontait comment il avait été abordé, par hasard, au Maroc, par un homme qu’il avait soigné bien des années plus tôt d’une fracture ouverte au-dessus du genou. Le Pr Henri Joyeux avait alors sauvé sa jambe, vouée à être amputée, grâce au miel… Cet homme, qui pouvait à présent marcher normalement, lui en était à jamais reconnaissant !

Le propos de cette conférence n’était pas alors le miel ni les produits de la ruche, on y parlait plus généralement de nutrition.

Mais comment parler du miel sans évoquer son pouvoir guérisseur !

Et ce n’est pas le seul témoignage de cicatrisation extraordinaire ou d’utilisation du miel par un médecin à l’hôpital !

En 2008, le journaliste alpiniste Antoine Bonfils, à l’assaut de l’Everest, perd les cinq orteils de son pied droit à cause de gelures. Ils lui sont amputés. Pour refermer son moignon, un autre chirurgien lui propose, une semaine plus tard de l’opérer et de l’amputer à nouveau. Abattu, il se tourne alors vers le Dr Bernard Descottes qui lui déconseille vivement l’amputation et lui propose de cicatriser son moignon grâce au miel. Moins de deux mois plus tard, son moignon est cicatrisé et il peut à nouveau remarcher .

Pionnier de l’utilisation du miel à l’hôpital, le Dr Bernard Descottes, chef de service de chirurgie viscérale et transplantations au CHU de Limoges jusqu’à son décès en 2009, a mené, depuis 1984, plusieurs études très concluantes sur le miel et la cicatrisation des plaies.

Grâce au miel, il a traité avec succès plus de 3000 patients !

Le miel, plus fort que les antibiotiques !
Le Dr Bernard Descottes expliquait de manière simple et éclairante que « le miel est un produit qui est éminemment riche en multiples éléments :

Sucre, c’est nécessaire au métabolisme cellulaire,

Vitamines, c’est stimulant,

PH, c’est-à-dire son côté acide, c’est détergent, ça s’oppose […] à la prolifération microbienne.

Et tout ceci fait que vous avez un véritable effet “booster” sur la prolifération cellulaire qui fait que progressivement on a une cicatrisation, même sur un terrain très fragilisé, beaucoup plus rapide qu’avec les autres produits ».

Le Dr Bernard Descottes a même prouvé que la cicatrisation grâce au miel était deux fois plus rapide qu’avec un produit de l’industrie pharmaceutique pour un coût trois fois moins élevé.

Le miel est utilisé selon des protocoles précis pour différentes indications :

  • Les plaies : que ce soient des plaies franches, accidentelles ou par scalpel du chirurgien, des plaies infectées ou souillées, dont il faudra déterminer au préalable le germe, ou bien même les plaies par contusion tissulaire importante avec parfois perte de substance. Toutes ces plaies pourront bénéficier d’une cicatrisation rapide par le miel.
  • Les escarres : elles sont provoquées par la compression tissulaire et le ralentissement de la circulation sanguine aux points d’appui (sacrum, talon, ischion, pli inter-fessier, occiput,…) lors de longues périodes d’immobilisation. Leur cicatrisation pose de graves problèmes et peut durer de quelques jours à quelques mois.

Selon le document Peau de Miel du CHU de Limoges, « l’utilisation du miel après nettoyage de l’escarre apporte une solution utile et spectaculaire dans la guérison. »

  • Les brûlures : appliqué sur des brûlures du 1er ou 2ème degré, le miel permet de soulager la douleur et d’éviter la formation d’une cloque et d’une cicatrice.
  • Les lésions cutanées, type gerçure ou crevasse, favorisée par la sécheresse cutanée (par exemple lors de chimiothérapie).

Une des vertus du miel est bien son activité cicatrisante. Mais l’intérêt du miel en milieu hospitalier provient également de son activité anti-microbienne. L’augmentation de la capacité de résistance aux antibiotiques des germes en est une des causes.

Le Dr David Lechaux, chirurgien de l’appareil digestif à l’hôpital Yves Le Foll de Saint Brieuc, écrit, dans un rapport sur le miel et la cicatrisation des plaies, qu’est attribuée au miel « une très grande efficacité sur un large spectre de bactéries […] au niveau des plaies. Cette caractéristique du miel, ajoutée au constat qu’aucune résistance n’a été révélée à ce jour, en fait un moyen thérapeutique pour aider à la cicatrisation avec beaucoup d’intérêt en milieu hospitalier où les infections nosocomiales sont légions. »

L’utilisation du miel dans les études du CHU de Limoges a prouvé que le miel était bien bactériostatique, à savoir qu’il permet de suspendre la multiplication des bactéries aboutissant ainsi au vieillissement de celles-ci et à leur mort.

Les miels qui se sont révélés les plus actifs sont le miel de thym, de lavande, d’eucalyptus et le miel toutes fleurs à prédominance de châtaigner.

Le rôle essentiel de l’apithérapie
Afin de faciliter la diffusion de ses travaux de recherche sur le miel, le Dr Bernard Descottes fonde l’Association Francophone d’Apithérapie (AFA), le 28 janvier 2008. Son but est de promouvoir l’apithérapie et de faire connaître l’intérêt des produits de la ruche sur la santé.

L’apithérapie est une science utilisée par les égyptiens, les grecs, les arabes,… qui consiste à utiliser les produits des abeilles pour la santé.

Nous la redécouvrons aujourd’hui en Europe alors qu’elle est connue depuis des millénaires et qu’elle a été utilisée chez nous jusqu’au XXème siècle. Après la deuxième guerre mondiale et l’arrivée de produits plus innovants et modernes, le miel et les produits de la ruche sont tombés dans l’oubli.

Bien que je ne vous ai parlé que de cas de guérison, l’apithérapie est avant tout à usage du bien portant car il vaut mieux prévenir que guérir.

C’est avant tout un concept global de santé.

Chaque type de miel a des avantages particuliers, mais tous ont des effets communs reconnus : un effet antibiotique, un effet cicatrisant (plaie, ulcères, brûlures,…) et en synergie avec la propolis, il a des effets bénéfiques sur les pathologies saisonnières ORL (inflammation, toux, douleurs, aphtes…).

Mais le miel n’a pas encore livré tous ses secrets et des pistes restent à explorer !

L’association du miel et de l’aromathérapie, par exemple, est pleine de promesses… Elle consiste en un mélange miel-essence ou huiles essentielles de plante appelés «Aromels».

Le Dr Albert Becker, membre de l’AFA, explique que « la combinaison du miel et des huiles ou essences est ici un moyen permettant, par une diffusion rapide des principes actifs de l’essence et par synergie, d’améliorer l’efficacité thérapeutique des composants. […] L’aromel de citron pour l’angine, de romarin ou de thym pour l’aérophagie, de mélisse pour les flatulences sont des appoints intéressants en thérapeutique et ont fait leur preuve. La synergie d’action thérapeutique avec d’autres traitements existe au bénéfice du patient. Les relations thérapeutiques prometteuses entre miel et aromathérapie, entre miel et phytothérapie sont à développer. »

Je ne vous ai pas parlé de la propolis, ni du pollen, ni de la gelée royale…

Tous les produits de la ruche sont intéressants pour notre santé et nous pouvons notamment en tirer bénéfice sur :

  • La longévité
  • Les angines, la grippe et les infections ORL
  • Les gastro-entérites et ulcères
  • L’acné
  • Les verrues, l’herpès et les mycoses
  • Le psoriasis et l’eczéma
  • Les plaies et les brûlures
  • L’arthrose
  • Le foie
  • La constipation et la diarrhée
  • Les affections de la prostate
  • L’ostéoporose
  • Les maladies neurodégénératives (Parkinson, Alzheimer)
  • Les maladies auto-immunes (Crohn, Hashimoto, polyarthrite)
  • La dénutrition des personnes âgées
  • L’objectif performance du sportif

C’est une longue liste de maux sur laquelle l’apithérapie peut avoir un rôle préventif important pour chacun d’entre nous. »

Victoire Malard

Extrait de la newsletter de l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, ASBL , PARIS , site web:  www.ipsn.eu

Message du SPF Santé publique et de l’Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire (AFSCA) suite aux problèmes de la mortalité élevée du couvain en 2016.

Message du SPF Santé publique et de l’Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire (AFSCA) suite aux problèmes de la mortalité élevée du couvain en 2016.

En annexe vous trouverez un nouveau message commun du SPF Santé publique et de l’Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire (AFSCA) suite aux problèmes de la mortalité élevée du couvain en 2016.